Le paquet de services de dépistage, de traitement et de prévention de la tuberculose est offert gratuitement dans toutes les structures de santé publique. Le personnelintervenant est qualifié à tous les niveaux.
En baisse régulière, avec les interventions conjointes mises en œuvre en collaboration avec le Conseil national de Lutte contre le Sida, la prévalence de la tuberculose chez les personnes vivant avec le VIH est de 3,5%. Cette baisse conforte le succès thérapeutique d’une valeur de 89,4%, pour une cible fixée à 90% par l’OMS, à l’horizon 2035.
Dans cette dynamique, l’Etat, avec l’appui de ses partenaires techniques et financiers, a considérablement relevé le plateau technique de diagnostic. Par la disponibilité de nouveaux outils de diagnostic rapide et de qualité comme la microscopie à fluorescence et les tests moléculaires rapides tel que le GeneXpert. 53 appareils permettent ainsi de détecter la maladie en 2 heures, y compris les formes pharmacorésistantes.
Les malades sont pris en charge gratuitement dans les Centres (ou unités) de traitement ouverts au sein des hôpitaux, des centres ou postes de santé de tous les districts sanitaires. Les patients en situation de précarité bénéficient également de mesures de soutien comme la dotation de paquet alimentaire, l’appui au transport et l’accompagnement psychosocial.
Les 562 organisations communautaires de base travaillent en étroite collaboration avec le personnel des districts sanitaires, appuient les activités de communication et sensibilisation sur la tuberculose, l’orientation des malades présumés, le suivi du traitement, le dépistage actif ciblant les personnes vulnérables. A cela s’ajoutent, des activités de promotion des droits humains et du Genre pour un accès plus facile aux soins.
« Oui! Nous pouvons mettre mettre fin à la tuberculose »
Cela nécessite une mobilisation des décideurs et de toute la communauté, l’augmentation des investissements, en adoptant des approches innovantes et en engageant une collaboration multisectorielle.
En baisse régulière, avec les interventions conjointes mises en œuvre en collaboration avec le Conseil national de Lutte contre le Sida, la prévalence de la tuberculose chez les personnes vivant avec le VIH est de 3,5%. Cette baisse conforte le succès thérapeutique d’une valeur de 89,4%, pour une cible fixée à 90% par l’OMS, à l’horizon 2035.
Dans cette dynamique, l’Etat, avec l’appui de ses partenaires techniques et financiers, a considérablement relevé le plateau technique de diagnostic. Par la disponibilité de nouveaux outils de diagnostic rapide et de qualité comme la microscopie à fluorescence et les tests moléculaires rapides tel que le GeneXpert. 53 appareils permettent ainsi de détecter la maladie en 2 heures, y compris les formes pharmacorésistantes.
Les malades sont pris en charge gratuitement dans les Centres (ou unités) de traitement ouverts au sein des hôpitaux, des centres ou postes de santé de tous les districts sanitaires. Les patients en situation de précarité bénéficient également de mesures de soutien comme la dotation de paquet alimentaire, l’appui au transport et l’accompagnement psychosocial.
Les 562 organisations communautaires de base travaillent en étroite collaboration avec le personnel des districts sanitaires, appuient les activités de communication et sensibilisation sur la tuberculose, l’orientation des malades présumés, le suivi du traitement, le dépistage actif ciblant les personnes vulnérables. A cela s’ajoutent, des activités de promotion des droits humains et du Genre pour un accès plus facile aux soins.
« Oui! Nous pouvons mettre mettre fin à la tuberculose »
Cela nécessite une mobilisation des décideurs et de toute la communauté, l’augmentation des investissements, en adoptant des approches innovantes et en engageant une collaboration multisectorielle.