Qu’est ce qui explique le choix de deux dates pour célébrer le même événement ?
Nous avons voulu ratisser large, et nous avions prévu de faire l’événement en 48 heures, les 21 et 22 Mars. Mais avec la programmation de la salle, on a finalement opté pour maintenir la date du 22 Mars au Grand Théâtre qui peut accueillir jusqu’à 1800 personnes. Donc, ce sera pour un public trié, et pour ne pas frustrer mes fans qui ne pourront pas vivre l’événement du 22 Mars, notre choix a été porté sur la banlieue pour rester dans la logique de mes 24 années de carrière. C’est ainsi que pour le concert géant au stade, en banlieue, le 29 Mars, tous les jeunes qui ont l’âge de ma carrière seront conviés librement à partager ces moments de bonheur.
De grandes innovations pour cette année ?
Tout sera différent et les régisseurs déjà arrivés à Dakar, et ils s’attèlent au moindre détail pour offrir un spectacle unique, jamais réalisé sous nos cieux. Des surprises, il y en aura sur le plan artistique comme sur le déroulé. Avec l’expo, le double plateau, la chorégraphie de plus de 40 danseurs, des invités de taille, nous sommes dans les derniers réglages.
Coumba Gawlo, c’est devenu une véritable entreprise…
Dieu merci, on a fait du chemin et accumulé beaucoup d’expériences ce qui fait qu’aujourd’hui on manage une équipe de professionnels aguerris. Derrière ma modeste personne s’active des génies qui cherchent à réaliser mes projets et travaillent d’arrache pied pour maintenir leur artiste au top . C’est une équipe managériale qui s’occupe du boulot de terrain. C’est le staff qui défini les grands axes selon mes indications. C’est toute une organisation pilotée par des professionnels qui mettent en place les projets et les moyens de les réaliser. Toute cette équipe travaille sous l’impulsion de Dakar Rendez Vous Music , une structure que j’ai mise sur place depuis 1997 et qui étend ses tentacules . Récemment, nous avons , pour plus de fluidité , lancé la structure GO qui en fait productrice de l’événement. C’est en fait Gawlo Office qui est maitre d’œuvre de l’événement et qui s’occupe aussi des tournées africaines. Aussi, et c’est important, notre association Lumière pour l’Enfance LPE, qui s’occupe exclusivement du volet humanitaire et qui n’est plus à présenter. La grande fierté, c’est le studio Tama qui a été monté par des Suédois . C’est le plus grand studio d’Afrique. C’est de ce studio installé dans nos locaux que sortira mon prochain album international sortira avec Axel Red . Alpha Blondy y a enregistré deux morceaux de son dernier album. Simplement pour vous dire tout le confort technique de ce studio qui peut servir à aider beaucoup de jeunes.
Malgré le succès et les distinctions, Coumba Gawlo ne s’arrête pas. Qu’est ce qui fait courir la Diva ?
Je disais tantôt qu’avec une carrière longue comme la mienne, il y des avantages comme des inconvénients. C’est un métier qui n’aime pas la routine et pour continuer d’exister il faut se rafraichir, rajeunir. Maintenant, ce qui me fait courir, c’est la passion de mon métier. Ce métier qui me fait vibrer, qui me donne de l’énergie. Aussi, il y cette autre source de motivation, le public, mon public, mes femmes qui m’encouragent depuis toujours, qui me donnent de la force.
Avec la vidéo Djessy, vous faites de l’ombre à votre mère avec qui vous chantez en duo ?
Non je suis désolée, c’est elle qui m’éclipse totalement. Vous savez ma mère à une belle expression que je ne peux malheureusement transcrire mais qui résume simplement que j’ai héritée, et que le sang noble ne trompe pas. Elle a une belle phrase pour résumer tout ça. Ma mère est une femme spéciale que je vénère, c’est ma référence, c’est une femme hors du commun. Elle est unique, une éternelle enfant et c’est elle qui se gène quand elle est en duo avec moi, même si c’est vrai , très émotive, elle supporte difficilement les louanges, surtout venant de moi, son ainée .
Durant les 24 ans quels sont les meilleurs moments de votre carrière ? Le meilleur moment..
C’est quand j’ai gagné à l’âge de 14 ans ma première distinction Voix d’Or même si à l’époque j’étais encore jeune pour en mesurer la portée. Notre premier poste de télévision à la maison est de ce lot qui m’a été remis par Djibo Ka, à l’époque ministre. Ce sont des moments forts qui restent gravé dans la tête. Ma rencontre avec Miriam Makeba qui tout de suite a évolué en passion, le jour où j’ai serré la main de l’icône de l’apartheid Mandela à Sun City aussi, alors que j’avais débutée ma carrière avec Soweto. Ce jour, j’ai compris que le hasard n’existe pas. Ce sont des images fortes, des souvenirs figés dans ma mémoire. Ma rencontre avec Drucker qui faisait l’émission Champs Elysées a aussi eu de l’impact dans la prise en compte de mes capacités. Il me disait que j’avais le port d’une reine d’Afrique. Quand j’ai eu mon disque d’or et une semaine après je décroche celui de platine, je n’oublierai jamais ces instants, c’est une fois dans une carrière. Du haut de la tribune des Nations Unies, pour plaider la cause des femmes et couches vulnérables, je n’oublierai jamais.
Après l’événement, c’est quoi l’agenda de la Diva ?
Nous continuerons de célébrer l’événement à travers le continent. Nous irons en Gambie, Mali Mauritanie, Niger, Guinée, Mauritanie, Burkina, nous irons partager des moments forts avec le public africain qui m’aime et croit en moi. Après l’étape africaine qui conduira vers la tournée internationale, plusieurs dates sont ciblées pour ratisser le plus large possible.
Nous avons voulu ratisser large, et nous avions prévu de faire l’événement en 48 heures, les 21 et 22 Mars. Mais avec la programmation de la salle, on a finalement opté pour maintenir la date du 22 Mars au Grand Théâtre qui peut accueillir jusqu’à 1800 personnes. Donc, ce sera pour un public trié, et pour ne pas frustrer mes fans qui ne pourront pas vivre l’événement du 22 Mars, notre choix a été porté sur la banlieue pour rester dans la logique de mes 24 années de carrière. C’est ainsi que pour le concert géant au stade, en banlieue, le 29 Mars, tous les jeunes qui ont l’âge de ma carrière seront conviés librement à partager ces moments de bonheur.
De grandes innovations pour cette année ?
Tout sera différent et les régisseurs déjà arrivés à Dakar, et ils s’attèlent au moindre détail pour offrir un spectacle unique, jamais réalisé sous nos cieux. Des surprises, il y en aura sur le plan artistique comme sur le déroulé. Avec l’expo, le double plateau, la chorégraphie de plus de 40 danseurs, des invités de taille, nous sommes dans les derniers réglages.
Coumba Gawlo, c’est devenu une véritable entreprise…
Dieu merci, on a fait du chemin et accumulé beaucoup d’expériences ce qui fait qu’aujourd’hui on manage une équipe de professionnels aguerris. Derrière ma modeste personne s’active des génies qui cherchent à réaliser mes projets et travaillent d’arrache pied pour maintenir leur artiste au top . C’est une équipe managériale qui s’occupe du boulot de terrain. C’est le staff qui défini les grands axes selon mes indications. C’est toute une organisation pilotée par des professionnels qui mettent en place les projets et les moyens de les réaliser. Toute cette équipe travaille sous l’impulsion de Dakar Rendez Vous Music , une structure que j’ai mise sur place depuis 1997 et qui étend ses tentacules . Récemment, nous avons , pour plus de fluidité , lancé la structure GO qui en fait productrice de l’événement. C’est en fait Gawlo Office qui est maitre d’œuvre de l’événement et qui s’occupe aussi des tournées africaines. Aussi, et c’est important, notre association Lumière pour l’Enfance LPE, qui s’occupe exclusivement du volet humanitaire et qui n’est plus à présenter. La grande fierté, c’est le studio Tama qui a été monté par des Suédois . C’est le plus grand studio d’Afrique. C’est de ce studio installé dans nos locaux que sortira mon prochain album international sortira avec Axel Red . Alpha Blondy y a enregistré deux morceaux de son dernier album. Simplement pour vous dire tout le confort technique de ce studio qui peut servir à aider beaucoup de jeunes.
Malgré le succès et les distinctions, Coumba Gawlo ne s’arrête pas. Qu’est ce qui fait courir la Diva ?
Je disais tantôt qu’avec une carrière longue comme la mienne, il y des avantages comme des inconvénients. C’est un métier qui n’aime pas la routine et pour continuer d’exister il faut se rafraichir, rajeunir. Maintenant, ce qui me fait courir, c’est la passion de mon métier. Ce métier qui me fait vibrer, qui me donne de l’énergie. Aussi, il y cette autre source de motivation, le public, mon public, mes femmes qui m’encouragent depuis toujours, qui me donnent de la force.
Avec la vidéo Djessy, vous faites de l’ombre à votre mère avec qui vous chantez en duo ?
Non je suis désolée, c’est elle qui m’éclipse totalement. Vous savez ma mère à une belle expression que je ne peux malheureusement transcrire mais qui résume simplement que j’ai héritée, et que le sang noble ne trompe pas. Elle a une belle phrase pour résumer tout ça. Ma mère est une femme spéciale que je vénère, c’est ma référence, c’est une femme hors du commun. Elle est unique, une éternelle enfant et c’est elle qui se gène quand elle est en duo avec moi, même si c’est vrai , très émotive, elle supporte difficilement les louanges, surtout venant de moi, son ainée .
Durant les 24 ans quels sont les meilleurs moments de votre carrière ? Le meilleur moment..
C’est quand j’ai gagné à l’âge de 14 ans ma première distinction Voix d’Or même si à l’époque j’étais encore jeune pour en mesurer la portée. Notre premier poste de télévision à la maison est de ce lot qui m’a été remis par Djibo Ka, à l’époque ministre. Ce sont des moments forts qui restent gravé dans la tête. Ma rencontre avec Miriam Makeba qui tout de suite a évolué en passion, le jour où j’ai serré la main de l’icône de l’apartheid Mandela à Sun City aussi, alors que j’avais débutée ma carrière avec Soweto. Ce jour, j’ai compris que le hasard n’existe pas. Ce sont des images fortes, des souvenirs figés dans ma mémoire. Ma rencontre avec Drucker qui faisait l’émission Champs Elysées a aussi eu de l’impact dans la prise en compte de mes capacités. Il me disait que j’avais le port d’une reine d’Afrique. Quand j’ai eu mon disque d’or et une semaine après je décroche celui de platine, je n’oublierai jamais ces instants, c’est une fois dans une carrière. Du haut de la tribune des Nations Unies, pour plaider la cause des femmes et couches vulnérables, je n’oublierai jamais.
Après l’événement, c’est quoi l’agenda de la Diva ?
Nous continuerons de célébrer l’événement à travers le continent. Nous irons en Gambie, Mali Mauritanie, Niger, Guinée, Mauritanie, Burkina, nous irons partager des moments forts avec le public africain qui m’aime et croit en moi. Après l’étape africaine qui conduira vers la tournée internationale, plusieurs dates sont ciblées pour ratisser le plus large possible.