L’histoire est pathétique ! Cela pourrait même vous faire pleurer si vous êtes une âme sensible. Quand cette brave dame habitant à Touba Ocass, vous narre sa mésaventure et l'injustice qu'elle a subie, elle ne peut s’empêcher de refouler d’un geste machinal de la main, de chaudes larmes.
Le regard détourné, la mine crispée, mère Adja Seye qui rêvait d'un avenir radieux, d'une stabilité familiale et de la protection de ses biens, se trouve à déchanter et grossit aujourd’hui les rangs des victimes du drame de l’injustice.
Selon une dame habitant dans le quartier et témoin des faits, « je connais mère Adja Maty Sèye ainsi que sa famille. Aujourd'hui, ce qu'elle a subi, nous fait énormément mal. Et nous qui sommes ses voisins, savons que c'est de la pure injustice qu'elle a subie. Vraiment, c'est difficile de voir son locataire qui refuse de lui payer ses loyers, mieux qui la terrorise dans sa propre demeure. Pourtant, ce locataire-là qui a entraîné ce drame, n'a aucun droit ni titre ».
Une dette de 14 millions d'arriérés et des travaux illégaux dans le domicile du bailleur par Atoumane Fall
La rencontre se voulait amiable entre le propriétaire et le locataire, et devait aboutir au règlement des loyers impayés. Pour tout paiement, Mme Adja Maty Sèye, la propriétaire, n'a reçu que des injures et des humiliations.
Après avoir expulsé son locataire Atoumane Fall pour enfin procéder aux réaménagements de son magasin dont elle est la propriétaire, malgré les 14 millions que lui doit M. Fall, à sa grande surprise, elle a vusa vie basculer en un cauchemar, avec l'entrée en jeu de la gendarmerie de la zone, avec une convocation suivie d'une garde-à-vue sans motif par l'autorité judiciaire. Ce dernier lui aurait signifié qu'il allait la déférer la prochaine fois qu'elle aurait maille à partir avec son locataire.
Pourtant la dame Adja Sèye n'a fait que revendiquer la quintessence de la règle de droit et de la justice sociale, dès lors qu'elle ne peut plus être spectatrice face la violation de ses droits et de son titre acquis en toute légalité. Par ailleurs, le tribunal avait bien avant ordonné l'expulsion d’Atoumane Fall.
Ce dernier, à la surprise de tout le monde, est revenu à la maison de son bailleur, avec des ouvriers pour procéder à des travaux en dehors de toute autorisation de la propriétaire. En dépit des avocats et de toutes les procédures judiciaires entamées, mère Adja Maty Sèye voit ses espoirs à l'échafaud, devant le fait accompli d'une injustice, engendrant un fort sentiment d’injustice.
Pourtant, le jeune Atoumane Fall n'en est pas à son premier forfait, car épinglé en 2018, dans une affaire de fraude douanière, avec un riche commerçant au niveau du marché de Sandaga.
L'homme a été d'ailleurs cueilli convoqué par le parquet. Aujourd'hui, il serait un récidiviste selon certains de ses proches et franchit la ligne rouge d'une cohésion sociale, en défiant la dame justice dans le cadre d'une violation perpétuelle des droits d'autrui, avec des injures et des menaces dans ce même cadre dont il n'est pas le propriétaire .
Après avoir usé toutes les voies et moyens, la dame Adja Maty Sèye n’a d’autre choix que de se réfugier dans son tribunal intérieur, mais reste à savoir qui sera la prochaine cible de cet habitué des faits.
Le regard détourné, la mine crispée, mère Adja Seye qui rêvait d'un avenir radieux, d'une stabilité familiale et de la protection de ses biens, se trouve à déchanter et grossit aujourd’hui les rangs des victimes du drame de l’injustice.
Selon une dame habitant dans le quartier et témoin des faits, « je connais mère Adja Maty Sèye ainsi que sa famille. Aujourd'hui, ce qu'elle a subi, nous fait énormément mal. Et nous qui sommes ses voisins, savons que c'est de la pure injustice qu'elle a subie. Vraiment, c'est difficile de voir son locataire qui refuse de lui payer ses loyers, mieux qui la terrorise dans sa propre demeure. Pourtant, ce locataire-là qui a entraîné ce drame, n'a aucun droit ni titre ».
Une dette de 14 millions d'arriérés et des travaux illégaux dans le domicile du bailleur par Atoumane Fall
La rencontre se voulait amiable entre le propriétaire et le locataire, et devait aboutir au règlement des loyers impayés. Pour tout paiement, Mme Adja Maty Sèye, la propriétaire, n'a reçu que des injures et des humiliations.
Après avoir expulsé son locataire Atoumane Fall pour enfin procéder aux réaménagements de son magasin dont elle est la propriétaire, malgré les 14 millions que lui doit M. Fall, à sa grande surprise, elle a vusa vie basculer en un cauchemar, avec l'entrée en jeu de la gendarmerie de la zone, avec une convocation suivie d'une garde-à-vue sans motif par l'autorité judiciaire. Ce dernier lui aurait signifié qu'il allait la déférer la prochaine fois qu'elle aurait maille à partir avec son locataire.
Pourtant la dame Adja Sèye n'a fait que revendiquer la quintessence de la règle de droit et de la justice sociale, dès lors qu'elle ne peut plus être spectatrice face la violation de ses droits et de son titre acquis en toute légalité. Par ailleurs, le tribunal avait bien avant ordonné l'expulsion d’Atoumane Fall.
Ce dernier, à la surprise de tout le monde, est revenu à la maison de son bailleur, avec des ouvriers pour procéder à des travaux en dehors de toute autorisation de la propriétaire. En dépit des avocats et de toutes les procédures judiciaires entamées, mère Adja Maty Sèye voit ses espoirs à l'échafaud, devant le fait accompli d'une injustice, engendrant un fort sentiment d’injustice.
Pourtant, le jeune Atoumane Fall n'en est pas à son premier forfait, car épinglé en 2018, dans une affaire de fraude douanière, avec un riche commerçant au niveau du marché de Sandaga.
L'homme a été d'ailleurs cueilli convoqué par le parquet. Aujourd'hui, il serait un récidiviste selon certains de ses proches et franchit la ligne rouge d'une cohésion sociale, en défiant la dame justice dans le cadre d'une violation perpétuelle des droits d'autrui, avec des injures et des menaces dans ce même cadre dont il n'est pas le propriétaire .
Après avoir usé toutes les voies et moyens, la dame Adja Maty Sèye n’a d’autre choix que de se réfugier dans son tribunal intérieur, mais reste à savoir qui sera la prochaine cible de cet habitué des faits.