Chemise multicolore, voix tremblotante, air désespéré, le vieux Saliou Diallo a comparu devant la barre de la cour d’appel de Dakar. Et quand la parole lui a été donnée, le papi a accusé la fille de l’avoir provoquée. Il estime que son procès avait été mal jugé arguant qu’il y a des zones d’ombres qui n’ont pas été éclaircies.
« On m’avait accusé de viol sur une mineure de 13 ans, un viol que je n’avais pas commis. J’ai fait la connaissance de la fille dans la rue où elle vendait de l’eau fraîche. Je reconnais avoir entretenu des rapports sexuels avec elle mais c’est elle qui m’y a forcé. Aussi je ne savais pas qu’elle était enceinte en ce moment. Cette fille est de mœurs légères « explique Mamadou Saliou Diallo qui accuse Satan en réponse à la question sur les raisons qui l’ont poussé à entretenir des rapports sexuels avec une si petite fille. Contrairement à ce qu’avance le vieux Diallo, il est noté dans le procès-verbal qu’il a commencé à entretenir des rapports avec la fille depuis septembre 2014.
Dans cette affaire de mœurs à la limite de l’ignominie, le Procureur de la République a décidé de se rapporter à la décision du tribunal. N’ayant pas d’avocat pour assurer sa défense, le prévenu jure sous tous les saints de ne plus jamais répondre à la provocation des mineures, quelle que soit leur beauté. Il sera fixé sur son sort le 2 août prochain, jour que le tribunal a décidé de rendre son verdict.
« On m’avait accusé de viol sur une mineure de 13 ans, un viol que je n’avais pas commis. J’ai fait la connaissance de la fille dans la rue où elle vendait de l’eau fraîche. Je reconnais avoir entretenu des rapports sexuels avec elle mais c’est elle qui m’y a forcé. Aussi je ne savais pas qu’elle était enceinte en ce moment. Cette fille est de mœurs légères « explique Mamadou Saliou Diallo qui accuse Satan en réponse à la question sur les raisons qui l’ont poussé à entretenir des rapports sexuels avec une si petite fille. Contrairement à ce qu’avance le vieux Diallo, il est noté dans le procès-verbal qu’il a commencé à entretenir des rapports avec la fille depuis septembre 2014.
Dans cette affaire de mœurs à la limite de l’ignominie, le Procureur de la République a décidé de se rapporter à la décision du tribunal. N’ayant pas d’avocat pour assurer sa défense, le prévenu jure sous tous les saints de ne plus jamais répondre à la provocation des mineures, quelle que soit leur beauté. Il sera fixé sur son sort le 2 août prochain, jour que le tribunal a décidé de rendre son verdict.